Sortir des ALGORiTHMES ou...

... Mieux les encadrer. Pour l’anecdote, j'ai eu à remplacer et prendre le poste d'un collègue qui rentrait au MATiF, avec comme sujet principal, "rechercher la solution à des erreurs logicielles" qui créaient des bugs en série. La mission a été accomplie, il s'agissait d'une mise à jour d'index qui s'affichait à l'écran mais n'était pas effective. Ce qui est à remarquer, c'est que lui-même ne trouvait pas la cause des anomalies constatées.Est arrivé le moment où il n'avait plus de temps pour le faire.
Un logiciel a une différence avec l'intervention humaine qu'elle soit individuelle ou de groupe. Les erreurs humaines sont aussi complètement différentes et coûtent tout aussi cher.
Nous progressons par adaptations successives, les logiciels non, sauf exception, en tous cas pas aussi vite qu'ils ne travaillent. .
Ces deux paramètres que sont les erreurs et le temps jouent en défaveur de La Bourse et des titres qui passent à la moulinette.
A un moment donné, il faut reprendre les commandes derrière le pilote automatique, d'une façon ou d'une autre.
En 2008, le sauvetage des Banques a évité que tous viennent au guichet chercher leur argent en monnaie sonnante et trébuchante.
Un de mes clients me dit justement en 2008: "Lundi je vais retirer 200 ou 300 000€, on ne sait jamais ce qui peut se passer, il vaut mieux prendre les devants."
Et dans le week-end l'hécatombe avait été évitée.
Notre propos n'ira pas plus loin, mais vaut réflexion sur le sujet.
Patrick GEFFRAULT 

http://www.boursorama.com/actualites/cac40-ecrasement-tres-strategique-de-la-volatilite-f39d970c7181ce5e62052041050e1cf9
Le "toilettage du vendredi" était un de nos principes et n'était destiné qu'à compenser les RTT qui se soldaient par une fin de semaine en rouge. Maintenant, pour la surveillance du CAC par la profession, il est du bon sens au même titre que le pilotage des avions. Trop de turbulences entrainent des haut-le-cœur.
Ces corrections de fonctionnement prouvent que la Finance tient bien ses outils en main que ce ne sont pas les ETATS ni qui que ce soit qui dictent les règles. Le conseil n'est pas la dictature soyons bien d'accord.
Dernier point, pour contrer 2008 et reconstruire, nous pensons et nous ne sommes pas nombreux, que la recapitalisation du système par la BOURSE est la meilleure méthode. Ensuite, compenser par titre est mieux qu'en numéraire en période de manque de liquidités.
Patrick GEFFRAULT